mercredi 9 janvier 2008

Un regard sur les choses et sur les gens

Je suis une très récente trinitaire et je n’entends rien à tous ces « mics macs » politiques (si on peut appeler ça de la politique !.

Je ne m’attendais pas à ce que les choses volent aussi bas en 2008 !

De toute évidence j’étais dans l’erreur ! elles volent encore plus bas qu’en 2007 !

On se demande d’ailleurs quelles sont les vraies raisons qui poussent certaines personnes à autant d’entêtement à vouloir occuper une fonction si ingrate, et pas non plus tellement valorisante, que celle de premier magistrat d’une petite ville comme la notre !

Cette opiniâtreté à vouloir à tout prix décrocher ce poste m’étonne et m’interpelle et « m’inquiète » !

Je comprends que celles et ceux qui estiment devoir conclure des réalisations non encore achevées, initiées selon leurs prérogatives, puissent effectivement espérer pouvoir le faire et se représenter pour y parvenir.

Je comprends beaucoup moins celles et ceux qui font état de leurs insatisfactions, sans grande perspicacité (car les arguties employées à défendre leurs récriminations sont plutôt minables), et qui, par-dessus le marché, ne démontrent d’aucune pertinence à dire intelligemment ce qu’ils proposent.

Bien entendu je passe rapidement sur tous les gogos de service qui constituent toujours un mal nécessaire à la vie de la cité.

En effet pourrait on imaginer la vie, à La Trinité notamment, sans que nos pérégrinations citadines ne nous confrontent aux quelques allusions (dramatiquement de tout premier degré) de celles et ceux qui exultent leurs haines à l’encontre d’une administration des choses qui ne leur convient pas du tout !

Car il est vrai que si ça ne devait pas être le cas l’affichage de leurs courroux serait alors totalement infondé et ils ou elles passeraient pour des empêcheurs de tourner en rond !

Mais peut être, et plus précisément, ça leur éviterait de tourner « autour du pot » trop longtemps car apparemment ça n’est pas qu’ils aient beaucoup à reprocher à la majorité en fonction mais c’est surtout qu’ils veulent absolument se substituer à elle.

Pourquoi ? on sait pas trop en définitive ! il faudrait qu’ils ou elles se dépêchent de nous dire quoi ! ou si ça n’est pas quoi qu’ils nous disent pourquoi … en évitant de rengainer sur des inepties du style « parce que on n’aurait pas fait ça … et pas ça et pas ça .. sans dire quoi d’autre et comment ! »

Mais qui dans sa vie affective n’a pas déjà fait l’objet de ces espèces de ressentiments dont les expressions permettent parfois aux plus déplorables des individus qui en sont les auteurs d’exister enfin !

Mais quelle condition d’existence !

Nathalie Turbiasque

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