jeudi 24 janvier 2008

Une vitrine comme à ?? où déjà ??

Le mérite des vitrines réside dans le fait qu’elles exposent les marchandises à l’appréciation du public à qui on les destine.

Dans certaines des villes plus sexuellement libérées elles servent les mêmes principes mais pour des denrées plus marchandes.

Là il s’agit surtout d’exposer ses subordinations à un gourou dont on ne cherche plus depuis longtemps à déterminer quelles sont les motivations en dehors de celles consistant à « sauver les meubles » à de nombreux égards.

Mais ceci est une autre histoire.

Donc le caractère transparent de cette large vitrine nous enseigne que de petites mains viennent épisodiquement soutenir une cause dont on ne connaît encore pas les fondements.

On parle ici de vrais fondements et non pas de quelques unes des critiques paranoïaques sur lesquelles quelques uns des plus voraces ont cru pouvoir bâtir un programme.

L’avidité ne constitue pas un élément de réussite humaine ou politique !

Elle n’est que le reflet de quelques gogos en mal de notoriété dans la meilleure des hypothèses et dans l’obligation de satisfaire des besoins plus matériels dans des hypothèses moins honorables.

Le plus amusant (on a dépassé le stade de l’étonnement) c’est de voir qui sont celles et ceux qui acceptent d’exposer leurs charmes et leurs indéniables qualités à l’arrière de cette devanture.

Naturellement on pourra constater que ce sont là des disciples dont les divers parcours ont largement contribué à faire progresser les affaires communales.

L’ennui c’est que le progrès ça ne veut rien dire du tout !

Tout peut progresser ! malheureusement même la maladie !

Et c’est la raison pour laquelle faire progresser les situations ne signifie pas pour autant les faire progresser dans le bon sens !

D’ailleurs on se souviendra de quelques unes des progressions organisées à l’initiative d’anciens partenaires et qui se sont soldées par des désastres financiers !

Bonne chance aux « repreneurs » de ce genre de main d’œuvre ! sans parler de matière grise !

C’est vrai que lorsqu’on tente de faire une offre de reprise il faut se «fader» le passif en contrepartie de l’actif (s’il y en a !)

Marcel Cerisier

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