Mais on ne saurait lui en faire le reproche car c’est une catégorie qui n’est pas réellement bien connue du grand public !
C’est la catégorie potentielle des « traîtres apprentis sorciers» qui remplissent à priori toutes les conditions utiles pouvant donner droit à cette appellation contrôlée (comme l’huile d’olive) et dont les tentatives sont presque toujours violemment destinées à faire le mal pour le mal.
Les rares « espèces humaines » qui s’abandonnent à ces tentatives sont en apprentissage permanent, par atavisme (ou par simple nature ce qui revient au même).
Elles sont d’ailleurs assez rapidement repérées par les nombreux conflits qu’elles administrent à longueur de temps, partout où elles le peuvent et contre tous ceux dont elles déclarent le caractère inconvenant (selon leurs normes) des critères de vie.
On ne parle pas ici des tensions conflictuelles auxquelles nous nous livrons tous par stoïcisme et au titre de nos devoirs respectifs.
On parle de ces espèces de conflits plutôt navrants qui se concluent souvent par des injustices.
Des injustices qui s’expriment souvent au préjudice de ceux qui ne sont pas de vrais plaideurs et qui se laissent prendre par surprise n’escomptant pas sur autant d’impétuosité et de désobligeance.
Je tenais à dénoncer cette caste de « traîtres apprentis sorciers » car elle semble participer d’un héritage atavique et qu’aucun remède ne semble pouvoir réduire les fréquences et intensités du mal qui en résulte.
J’ai eu la très épouvantable malchance de devoir être impliqué dans de mauvais procès, à La Trinité et dans un contexte immobilier.
C’était pour moi la toute première expérience et je l’ai mal vécue car j’ai eu à me battre contre précisément des gens qui disposaient d’une expérience judiciaire que je n’avais pas, d’une détermination à nuire dont je n’avais jamais soupçonné qu’une telle escalade de haine puisse en être la cause émergente et d’une intransigeance qui n’avait franchement rien d’humain.
Malheureusement dans ce type de configuration c’est toujours l’autre qui gagne.
Max Lebonpain
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