vendredi 13 juin 2008

Mon cher Denis,

Je suis désolé de devoir te contredire mais le tandem auquel tu fais allusion et dont nous sommes quelques uns à avoir compris de quel binôme il s’agissait, n’est pas du tout resté inactif à l’occasion de cette séance du Conseil ..

Malgré les dissonances culturelles, et physiques, qui les distinguent respectivement et réciproquement, les membres de ce « duo d’enfer » parviennent à mettre en musique commune leurs perspicacités à vouloir exister autrement qu’en paria occasionnel sans envergure.

Et tout ça ils le veulent au service d’une cause dont ils sont bien forcément les seuls à connaître les fondements…

Ceci étant bien entendu que les seuls fondements qui se sont révélés, publiquement, relèvent de la haine la plus banale, et, accessoirement, de quelques instincts barbares (ce qui ne signifie pas attardés.. mais presque).

D’après les quelques commentaires concernant cette équipe de duettistes « réduite aux acquêts » au regard de la perte progressive du capital confiance qu’elle inspire, on pourrait supposer que les recettes d’audience risquent fort d’affronter une vraie descente aux enfers …

Bon … soyons quand même indulgents avec cette divertissante paire d’invétérés penseurs ( ?) qui, aujourd’hui surtout, n’attend pas qu’on lui rappelle qu’elle vient de prendre une veste élective aussi monumentale que le gigantisme des efforts employés à, précisément, ne pas la prendre …

Ce ne sont d’ailleurs pas tellement ces colossaux déficits de popularité qui interpellent, mais c’est surtout le constat vérifié des écarts si fabuleusement considérables entre le montant des scores qu’escomptait obtenir ce « couple » et celui réellement obtenu !

En réalité ce fut le scoop du plouf !

Alors ces joueurs de pipeau, aux côtés de leurs célébrissimes meilleurs compagnons de route (vous savez ceux dont se félicite de ne pas avoir chez soi car ça n’est pas comme les petits pois) commencent à travailler pour les années à venir…

Rien d’étonnant à cela puisqu’ils n’ont pas grand-chose d’autre faire.

Qu’ils n’oublient pas les bâtons de pèlerin … ils sont contre le mur des lamentations et illusions déçues…

Au revoir

Angoulême

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