« … les enfants commencèrent à pleurer … la mère les rapprocha d’elle mais ils ne pouvaient s’arrêter de pleurer… le chef de la patrouille du NKVD empoigna le petit garçon par les mains, le libéra brusquement des bras de sa mère et le flanqua par terre … puis il le ramassa.. et, sous les yeux de sa mère le balança de toutes ses forces contre le mur … »
(Page 169 … GOULAG édition Grasset chapitre « Vie et travail dans les camps soviétiques »)
N’hésitez pas à lire cet ouvrage … vous comprendrez … mieux et pour toujours !
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