Je crois qu’on s’accordera tous à reconnaître qu’au regard des tentatives de dépistage de la médiocrité il n’est pas d’investigateur moins qualifié que ceux qui s’appliquent à en parler trop souvent.
Et notamment plus encore lorsque ceux-ci s’époumonent à se défendre au mieux d’en être eux-mêmes affectés.
Mais il est vrai que l’empressement à vouloir se dédouaner et jeter l’anathème sur autrui constitue une réelle suspicion au passif de ceux qui expriment cette hâte.
Par ailleurs n’omettons pas de préciser qu’en procédant de cette manière, les gogos les moins futés croient toujours pouvoir se dédouaner de leurs propres impérities et des perversités qu’elles infèrent !
C’est complètement insensé mais c’est comme ça !
C’est dans cette vision immodeste des choses que nos impudiques duettistes ont fini par se prendre à leur propre jeu de dupes et à « s’estampiller » au sceau de leur vraie condition…
Cela dit vous conviendrez que cette vigueur commune appliquée par ces mêmes duettistes à « se défendre d’être ce qu’il disent ne pas être » peut induire un résultat inverse à celui qu’ils espèrent !
Et pour ce qui concerne l’allocation du titre des élus les « plus médiocres » !... nos tourtereaux n’ont pas de crainte à avoir … ils seront largement en tête.
Surtout dans l’hypothèse où l’exercice compétitif qu’on serait contraints de mettre en œuvre se traduirait par des rivalités opposant des valeurs issues de la connaissance et de tous les dispositifs spirituels et intellectuels qui en perpétuent l’enseignement.
Mais BOF !
Alexandre
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