jeudi 3 janvier 2008

Je ne suis pas un socialo - communiste

Mais un « jauriste » convaincu et un des nostalgiques de la troisième république.

C’est la raison pour laquelle je soutiendrai la seule candidate de gauche qui a finalement eu l’audace de se libérer des habitudes bolcheviques que nous ont imposées les communistes trinitaires pendant près de 20 ans.

Il n’en demeure pas moins vrai, et nous le savons tous, que nous avons été libérés de cette emprise idéologique désuète grâce à l’habileté de quelques trinitaires qui n’étaient cependant pas connus pour leurs engagements politiques.

Ceci contrairement, d’ailleurs, à celles et ceux qui prétendaient (auprès de qui voulait bien leur prêter attention) être parfaitement rompu(e)s à la pratique de ces stratégies et de leurs effets.

Et de cela nous sommes bien obligés d’en rendre compte avec l’objectivité requise.

Ceux qui aujourd’hui se refusent à en accepter les conséquences, toutes modalités confondues, sont ceux là mêmes qui ont toujours été parfaitement incapables de relayer les communistes lorsque les nombreuses occasions de le faire se sont présentées à eux, ou à elles.

Et personne n’oserait prétendre que ces occasions n’apparaissaient jamais au bon moment !

Car en vérité il y a eu de nombreux « bons moments » mais de toute évidence il y a malheureusement eu que de mauvais candidats.

Des candidats, notamment, qui placardaient leurs assurances et leurs suffisances en tentant de convaincre les trinitaires, et même parfois au-delà, qu’ils étaient les meilleurs sans jamais avoir eu à en apporter la preuve ou après avoir préalablement démontré de leurs dispositions et aptitudes à le faire.

Oui ces annonces peuvent paraître bizarres compte tenu d’une appartenance à une gauche traditionnelle que je revendique haut et fort mais je dois à l’honnêteté de dire qu’ayant suivi de très près les aventures de quelques uns des crétins les plus patentés, et que je connais bien, autour de leur maire je me devais de dénoncer les côtés les plus méprisables de ces agitateurs de vent.

Ce que nous pouvons reprocher à l’équipe actuelle c’est d’avoir été trop facilement dupée par des gens de peu de foi et, de les avoir indirectement assurés d’une notoriété qu’ils n’avaient jamais eue, ou même jamais espérée, et, en final de compte, de nous en faire un peu supporter les conséquences.

Tout le monde sait que lorsque vous libérez des mauvais esprits il faut en assumer les corollaires.

Mais pour ce qui concerne toutes les incompréhensibles et incohérentes balivernes que leur adressent tous ces politiquement « morts de faim » je peux vous affirmer que le nombre des abusés (hors les compères) se compte sur les doigts d’une seule main.

Oui je suis un socialiste bien né et naturellement très satisfait de n’avoir jamais trahi ni mes amis ni mes convictions quoiqu’il m’en ait coûté quelquefois en d’autres temps.

Et si j’interviens aujourd’hui en ces termes c’est précisément pour tenter de remettre les pendules à l’heure et un peu de ce bon sens dans cette chienlit trinitaire.

Vous savez ici c’est comme dans les « films western », ceux qui portent un chapeau noir sont les méchants et ceux qui le portent blanc sont les bons.

Les choses se compliquent toujours en présence des traîtres qui se servent des vestiaires (c'est-à-dire de leurs amis complices) pour changer de chapeau selon l’état du temps et diverses autres circonstances.

JOSEPH DE LA GAUDE et D’AILLEURS

Aucun commentaire: